cadrans solaires

 Je remercie les amis et membres de la famille qui partagent ma curiosité et ne manquent pas de m'adresser les photos des cadrans qu'ils rencontrent.

L'intérêt que je porte aux cadrans solaires a  pour principales causes :
  • l'appareil en lui-même, offrant un système de mesure universelle du temps, ne mettant aucune autre technique ou ressource que l'astre solaire lui-même,

  • les aspects historiques et décoratifs,

  • les devises, souvent en latin (langue que j'ai apprise) ayant une portée morale ou philosophique.

accès à ma collection de cadrans

le parc Près-la-Rose à Montbéliard


autres instruments :


les girouettes à cadran (anémoscopes)


la clepsydre et autres instruments de mesure du temps





Les cadrans solaires étaient répandus dès l'époque gréco-romaine, mais ils indiquaient généralement des heures "temporaires", où le jour est  arbitrairement divisé en parties égales. Dans ces périodes reculées, seuls quelques savants avaient construit des cadrans mesurant une heure solaire exacte.
A partir de la Renaissance, on voit progressivement se généraliser ce type de cadrans en Europe. Chacun vivait avec le temps local.
En 1816, l’heure fut homogénéisée sur le territoire français, et alignée sur le méridien de Paris.
A partir de 1911, le Temps Universel fut mis en place, avec le méridien de Greenwich comme référence.
Après 1945 les horloges atomiques apparaissent progressivement et la "fréquence de la transition hyperfine de l’atome de Césium" a été choisie pour calculer la seconde étalon.
Le 1° Janvier 1972 le Temps Universel est remplacé par le Temps Universel Coordonné (TUC ou UTC) qui est un temps atomique corrigé pour rester en phase avec le temps solaire qui est stable.
La définition permanente de nouvelles échelles de mesure du temps est requise par l’évolution des applications scientifiques.